© -VERONICAS TUMBLR
'' Come on, come on, put your hands into the fire. Explain as I turn and meet the power, this time, turning white and senses dire. Pull up, from one extreme to another... ,,

elias(au choix) « neo » nom
IAN SOMERHALDER ▬ 28 ANS ▬ SIDNEY ▬ METIER AU CHOIX
THE CRIMSON AVENGERS

▲ INFORMATIONS IMPORTANTES

► Borné, sarcastique, curieux, sombre, susceptible, taquin, inconscient, volage, intelligent, bagarreur, possessif, sournois ► POUVOIRS ELECTROKINESIE – uc
VISIONS DU FUTUR – Depuis quelques mois, Neo subit des visions très éprouvantes, souvent floues, qui apparaissent pendant son sommeil. Les personnes concernées n'ont pas besoin d'avoir un contact avec lui, le jeune homme a simplement besoin de les voir quelques instants pour pousser son don à se manifester si un destin hors du commun attend ses victimes. Il ne contrôle pas ce don, cela arrive comme un cauchemar et il doit souvent lutter pour se réveiller et pour trouver un sens à ses rêves. ► GROUPE/OPINION Elias fait partie des crimson avengers, depuis bientôt quatre mois. Il s'y plaît car il garde une certaine liberté et prend un malin plaisir à rendre la vie impossible aux eyebeam, qui selon lui, ont fait le mauvais choix. Pour lui, les eyebeam sont des animaux dressés qui finiront emprisonnés tôt ou tard à cause de leur gentillesse aveugle et leur idéaux. Lui pense savoir que les mutants sont là pour une bonne raison, et qu'il faut à tout prix se méfier des humains pour se protéger. Bien évidemment, son côté loup solitaire ne l'a pas quitté, il a beau faire partie d'un clan, il n'écoute souvent que lui si on ne lui donne pas une bonne raison de suivre des règles.
► NOTEZ QUELQUES POINTS IMPORTANTS SUR LE SCENARIO
► NOTEZ QUELQUES POINTS IMPORTANTS SUR LE SCENARIO

▲ RELATIONS AVEC LE PERSONNAGE

Citation :

© -VERONICAS TUMBLR

► ANECDOTE/RESUME
« Il faut que tu t'en ailles. » Rien, elle ne bougeait pas, se contentant de me regarder avec douceur et incompréhension. Elle ne savait pas. Moi si. Il fallait qu'elle parte, tout de suite. « Va-t-en putain ! » Je m'égosillais, l'agressant alors qu'elle n'y pouvait rien. Tout ce que je savais, c'était qu'il fallait qu'elle s'en aille. Elle arqua légèrement les sourcils, puis les fronça de la même manière. Pourquoi ne bougeait-elle pas ? Tout autour de nous tremblait, partait en miette, mais elle était aussi sereine qu'un enfant endormi. « Qui es-tu pour me parler comme ça ? » Sa voix douce résonna dans ma tête, ses yeux brillants m'emportaient dans les abîmes de l'oubli. Il ne fallait pas. Je ne savais même pas son nom et pourtant je connaissais déjà comment allait se terminer sa courte vie si elle restait là. Elles s'approchaient, ces silhouettes sombres, elles nous entouraient et mes pieds refusaient encore catégoriquement de bouger. J'insistais. Et elle, elle avait le sourire. Un sourire étrangement détendu, innocent. La lumière se faisait de plus en plus rare, c'était comme si ces ombres en mouvement la dévorait. « Viens, ne reste pas là ! » J'étais alors soudainement léger, mes jambes avançaient toute seule à présent. Je m'approchais vigoureusement de la jeune femme et la prit par la main. Elle était gelée. Mais elle souriait toujours et me regardait, comme pour me dire que tout allait bien se passer. Pourtant, tout changea en l'espace de quelques secondes. « Je ne peux pas... » Je m'arrêtais d'un seul coup et me tournais vers elle. Les lèvres tremblantes, la jeune femme desserra sa main de la mienne et se laissa tomber à genoux. Les silhouettes étaient proches, la regardaient et semblaient vouloir l'attirer dans le néant. Je me mis à sa hauteur et pris son visage entre mes mains, comme si sa vie dépendait alors de ma volonté. « Relève-toi, je suis là, on va y arriver ! » Mes mots résonnaient comme si nous étions dans une grotte. J'avais peur moi aussi, aucun moyen de savoir où nous étions, mais je ne pouvais pas la laisser là. Je sentais qu'elle risquait quelque chose. Et malgré moi, mon égoïsme avait disparu. La jeune femme vint se réfugier contre moi, elle abandonnait. Je l'entourais alors de mes bras protecteurs et fermais les yeux quelques instants. Des bruits effrayants se rapprochaient, mais nous étions alors incapables de faire le moindre mouvement. « Je ne peux pas. » Ses paroles étaient devenues un murmure à peine audible. Lorsque je rouvris les yeux et releva son visage de mon index, je sursautais puis me retrouvais dans mon lit, seul.

Cela devait être la trentième fois que je faisais ce cauchemar. Chaque fois, je me réveillais exactement à la même place, recouvert de sueur. Ce pouvoir avait le don de me mettre dans un état lamentable. Je l'aimais bien jusqu'à ce qu'il me montre cette jeune femme pleine de désespoir et devienne bien plus éprouvant. Je n'arrivais pas encore à mettre des mots sur ce rêve, je ne le comprenais pas. Je me réveillais toujours lorsqu'elle relevait son visage, lorsque je voyais ses larmes de sang qui coulaient sur ses joues pâles. Lorsque je réalisais enfin que tout ceci allait réellement se passer, tôt ou tard... Il fallait que je la retrouve, que je sache, que je comprenne enfin le sens de ces images. Il fallait que je la protège, que je la sauve...

▲ PRECISIONS

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